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Victime du hasard ou Responsable de ma vie ?

Dernière mise à jour : 6 juin 2024

# 20 Le choix libérateur


Hello,

 

Bienvenue dans ce nouvel article dédié à l'évolution personnelle ET spirituelle, et merci à toi de nous lire.

 

Au programme

 

1. Euh, c’est quoi la question ?

2. Pourquoi être victime me fait moins peur

3. Je suis créateur de ma vie

4. Ce fameux pouvoir créateur libérateur à double-facette



Les 5 piliers essentiels pour équilibrer sa vie

Euh, c'est quoi la question ?

 

Oui, ça c’est la première stratégie du mental. Il commence par faire mine de ne pas comprendre. C’est son dada. Cela s’appelle la fuite.

 

Le mental est conçu pour éviter (fuir) ce qu’il n’aime pas. Enfin, plus exactement : ce qui lui fait peur. 😳 Plus qu’un dada, c’est une mission. Et même : une fonction.

 

Qu’il sait accomplir à merveille. Comme on sait…

 

Bref, lorsqu’on évoque la question de la responsabilité, le mental n’aime pas du tout.

 

D’où le hasard. 😜 Ce merveilleux bouc-émissaire, responsable de tous nos malheurs.

 

Lorsqu’une tuile arrive, il est facile de tout lui coller sur le dos. C’est rassurant : ce n’est pas de ma faute, je n’y suis pour rien, c’est la « faute à pas de chance. »

 

Et hop, il ne reste plus qu’à espérer un peu plus de chance pour la suite. Un « lancé de dés » plus favorable.

 

Bon, je crois qu’on a fait le tour.

 

Conclusion : croire au hasard, c’est pencher du côté « je suis victime », donc non responsable. 🫢

 

Donc plus facile.


Pourquoi "être victime me fait moins peur" ?

 

Voilà une bonne question. La meilleure. Que se cache-t-il donc derrière cet attrait à me sentir victime, bien que je sache pertinemment que ce n’est pas la meilleure version de l’histoire.

 

Regardons un peu les choses en face : être victime, c’est considérer qu’il y a quelqu’un, quelque chose, quoi que ce soit, quelque part, qui décide pour moi de mon sort.

 

Et ça fait du bien. Surtout quand ça fait mal.

 

En tout cas, c’est la « seconde couche », le 2ème rideau, une fois qu’on a compris que ce fameux hasard n’existe pas.

 

Car en éliminant le hasard, on débouche sur une raison. Forcément. À moins de s’en remettre à un Dieu qui décide de tout et tout le temps. Mais cela revient au même.

 

Donc, si pas de hasard, c’est qu’il y a une raison. 🧐

 

Et donc, toujours aussi logiquement, si je me considère victime, c’est que je considère que le véritable responsable de mon sort m’est extérieur.

 

On a beau dire, même si cela fait un peu rager qu’un extérieur me cause du mal, cela a un côté rassurant.

 

Eh oui : cela induit qu’il existe un « être » supérieure ou une intelligence supérieure qui décide à ma place, qui est au-dessus et qui dirige ma vie.

 

C’est rassurant et reposant. 😵

 

Un peu comme un père ou une mère, qui me protégerait et qui déciderait pour moi. Et même si ça ressemble à une punition, tant pis, je l’ai sûrement bien mérité.

 

Évidemment, tout cela est inconscient.

 

Mais cela n’enlève rien à la puissance de cette « influence ». Bien au contraire.

 

Bien, cela étant dit, avançons.

 

Vous sentez bien le coup venir : on est en train d’écarter gentiment mais fermement le « dirigisme extérieur » à notre vie.

 

Donc, si le responsable extérieur tombe à l’eau, que reste-t-il ?

 

Un responsable intérieur. Autrement dit : moi. 🙄

 

Voilà c’est dit. On en arrive au cœur du sujet. Enfin.


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Je suis créateur de ma vie

 

Facile à dire, facile à comprendre, mais pas facile à admettre.

 

Pourtant pure logique, que le mental sera bien forcé d’admettre cette fois.

 

Si personne n’est responsable de ma vie, c’est que je le suis. Forcément, puisqu’il n’y a personne d’autre.

 

Comment ? Les autres ?

 

Ah oui, c’est vrai, il ne faut pas oublier les autres (humains). On peut aussi se réfugier dans cette autre forme de victimisation. Les autres sont responsables de ma vie, de ce qui m’arrive.

 

Cela ne tient pas bien longtemps.

 

Il suffit de mettre le mental au pied du mur : face au mur, justement, je peux décider de faire demi-tour, d’essayer de le franchir, de le regarder en pleurant, en espérant peut-être qu’il va s’effondrer ou disparaître tout seul. C’est moi qui décide. 😯

 

Traduit dans notre vie quotidienne, c’est faire face à un travail que je déteste, un.e conjoint.e que je n’aime plus, un.e relation qui doit évoluer, un problème avec mon enfant ou mon parent que je dois affronter.

 

Dans la plupart de ces situations, c’est à moi de décider de l’attitude à avoir face à cette situation, cette expérience. Face à ce mur.

 

Il y a toujours plusieurs solutions. Même si certaines semblent impossibles (trop douloureuses).

 

Oui, c’est ça notre vie. La « banalité » de notre vie.

 

Sauf que cela n’a rien de banal, lorsqu’on remet au premier plan le premier principe essentiel : il n’y a pas de hasard à ce qui nous arrive.

 

Donc, il y a une raison.

 

Cette raison, c’est notre évolution.

 

Chaque expérience, situation, évènement nous conduit à adopter une attitude concrète et responsable qui nous pousse à évoluer, en réponse à la raison (cause) qui amène cette situation.

 

C’est à moi de choisir.

 

Et mes choix créent ma vie, c’est-à-dire les expériences, situations, évènements futurs qui vont venir ensuite.


Ce fameux pouvoir créateur à double facette

 

Cela peut être assez enthousiasmant, vu comme ça, d’envisager cette responsabilité personnelle et ce pouvoir créateur. 😃

 

Oui, forcément, mais attention au piège : on ne peut pas se limiter à accepter cela pour l’avenir…

 

Si on choisit de l’accepter, c’est totalement ou rien du tout. ☹️

 

Je m’explique : si j’admets cette responsabilité créatrice de ma vie, je dois également l’admettre pour mon passé. C’est-à-dire pour tout ce qui m’est arrivé jusqu’alors.

 

C’est la plus grande difficulté. Et on ne peut y couper.

 

Sinon, cela redevient contradictoire, illogique, fuyant. Et le mental s’engouffre dans la brèche.

 

Et c’est foutu : on est reparti dans le schéma d’une vie subie, en espérant mieux tout en se reposant sur le destin pour nous servir un meilleur menu.

 

Conclusion fatale : si je veux réellement, si j’ai la volonté ferme et courageuse de devenir responsable de ma vie, je dois commencer par accepter ce qui a été. TOUT ce qui a été. Heureux ET malheureux. Tout en considérant que tout ce que j’ai vécu était nécessaire à ce que je suis aujourd’hui et donc à mon évolution.

 

Première réaction à cela : je m’insurge ! 😩C’est trop dur. Ah non ! Je ne peux avoir été responsable de tous mes malheurs !! Enfin !

 

Réaction d’orgueil, de douleur, de regrets, etc. Oui, bien sûr. Cela peut faire mal. Mais c’est l’ego qui a mal.

 

Au fond, même si c’est douloureux, on ressent bien que c’est juste et c’est cela qui est libérateur.

 

Libérateur, car cela ouvre un espoir profond, puissant, réel, de devenir enfin acteur responsable de sa vie. 🥹

 

Et là, notre mental ouvre un œil intéressé. Voilà que se présente une opportunité fascinante : la possibilité d’un meilleur moins douloureux.

 

Et c’est ce qu’on a toujours voulu, en définitive : souffrir moins, vivre mieux.

 

Et c’est cela, la promesse. 😇

 

Une promesse réelle et non une leçon. C’est peut-être juste le petit coup de pouce nécessaire vers une prise de conscience.

 

Nous nous aidons tous, dans ce grand jeu de l’univers, vers cette évolution qui nous aspire et nous entraîne et dont nous sommes tous les acteurs interdépendants, interactifs, virevoltants les uns avec les autres, dans ces relations mutuellement constitutives (comme le disait David Bohm, l’assistant d’Albert Einstein).

 

Et lorsqu’on comprend les règles du jeu, un jeu qui a une raison, un but, pour notre plus grand bien, cela ouvre de nouvelles perspectives, bien plus riches et joyeuses, bien plus épanouissantes, bien plus satisfaisantes et profitables, pour chacun.e.

 

Et de l’acceptation naissent les prises de conscience, qui s’enchaînent, s’entrainent et font de nous des humains plus réalisés.

 

Et donc plus heureux.



mettre de la couleur et de la joie dans sa vie



 

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 Laurent & Valérie

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